" "Vatan, onu parsel parsel satanların değil;
uğrunda darağacına gidenlerin vatanıdır !"
50 ans déjà...50 sene önce...
Anilarina saygiyla..
50 ans déjà...50 sene önce...
Anilarina saygiyla..
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Deniz Gezmiş, Yusuf Aslan et Hüseyin İnan.
sont des révolutionnaires Marxiste-Léniniste.
Ils ont été pendus le 6 mai 1972 par l’état Turc
Deniz Gezmis revêtu de la “robe blanche” des exécutions.
Le sourire aux lèvres, il regarda alors ses bourreaux, ses yeux exprimaient de la pitié pour eux. D’un pas ferme, il marcha vers la potence, il grimpa sur l’escabeau avec l’aide des gardiens car il portait toujours ses menottes et la longue robe des exécutions qui entravait ses mouvements. Puis il plaça luimême sa tête dans le noeud coulant et s’écria:
“ Vive la lutte du peuple de Turquie pour l’indépendance!
“Vive le marxisme-léninisme!
“Vive la lutte révolutionnaire des peuples turc et kurde!
“A bas l’impérialisme!
“A bas le fascisme!”
Pris de panique en entendant ces mots, le procureur général cria aux bourreaux: “Repoussez le tabouret!” Ce qu’ils firent. Mais les pieds de Deniz Gezmis touchaient encore la table. Les bourreaux la retirèrent aussi et le corps de Deniz Gezmis bougea, tourna sur lui-même, la corde se tordit puis s’arrêta.
Il était 1 h 25 du matin.
Cette scène se répéta encore deux fois, pour les deux autres révolutionnaires condamnés.
Deniz Gezmiş, Yusuf Aslan et Hüseyin İnan.
sont des révolutionnaires Marxiste-Léniniste.
Ils ont été pendus le 6 mai 1972 par l’état Turc
Deniz Gezmis revêtu de la “robe blanche” des exécutions.
Le sourire aux lèvres, il regarda alors ses bourreaux, ses yeux exprimaient de la pitié pour eux. D’un pas ferme, il marcha vers la potence, il grimpa sur l’escabeau avec l’aide des gardiens car il portait toujours ses menottes et la longue robe des exécutions qui entravait ses mouvements. Puis il plaça luimême sa tête dans le noeud coulant et s’écria:
“ Vive la lutte du peuple de Turquie pour l’indépendance!
“Vive le marxisme-léninisme!
“Vive la lutte révolutionnaire des peuples turc et kurde!
“A bas l’impérialisme!
“A bas le fascisme!”
Pris de panique en entendant ces mots, le procureur général cria aux bourreaux: “Repoussez le tabouret!” Ce qu’ils firent. Mais les pieds de Deniz Gezmis touchaient encore la table. Les bourreaux la retirèrent aussi et le corps de Deniz Gezmis bougea, tourna sur lui-même, la corde se tordit puis s’arrêta.
Il était 1 h 25 du matin.
Cette scène se répéta encore deux fois, pour les deux autres révolutionnaires condamnés.
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